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Le Necronomicon realité ou délir litteraire de l'écrivain américain H.P. Lovecraft?
Qui de nos jours n'a pas entendu parler du Nécronomicon. Romans, nouvelles, films, et même des faits divers y font référence...
Tout d'abord qu'est-ce que le Necronomicon ?
Pour certains, ce "grimoire" aurait une reliure en peau de nourrissons mort-nés, des pages en peau d'humains sur lesquelles on aurait écrit avec du sang...(pour sa version originale)
Dans ce mystérieux livre, on raconte que des entités auraient peuplé le monde bien avant l'arrivée des hommes. Ces entités, appelées les Anciens, seraient toujours présentes car elles se trouveraient sur un autre plan de notre réalité. Et ces entités n'attendraient que l'heure à laquelle ils reviendraient reprendre la Terre aux humains ! Ces anciens, visiteurs venus d'ailleurs, seraient la source des visions des certaines personnes qui pratiquent des sciences occultes...
Rien de bien méchant alors penserez - vous.
Cela dépend: le Nécronomicon ne conterait pas seulement la légende des Anciens, ce serait aussi un grimoire qui contiendrait des sorts, des incantations... qui donneraient entre autre la faculté d'invoquer et de soumettre les forces anciennes. L'incantation la plus courue serait "La malédiction de la création originelle", une incantation qui permettait de maudire l'humanité tout entière ainsi que toutes les créatures vivantes afin de les détruire... Cette malédiction serait écrite de la main de Dieu lui-même et finissait par cette phrase: "Et pourquoi ? parce que je me repend d'avoir crée l'humanité..."
Plus sérieusement, l'écrivain américain H.P. Lovecraft serait a l'origine du mythe à l'occasion de la rédaction de la nouvelle La Cité sans nom, achevée en 1921.
Selon lui, voici l'histoire du Necronomicon, originellement nommé Kitab al Azif (littéralement "Livre du musicien") . Il aurait été écrit vers 730 à Damas par le poète Abdul al-Hazred, souvent surnommé "l'Arabe dément" par l'auteur. En arabe, al azif fait référence au bruit que produisent les insectes la nuit, ce qui dans cette culture se rapporte aux cris des djinns. Le manuscrit original en arabe aurait disparu.
Théodore Philetas de Constantinople aurait par la suite traduit l'ouvrage en grec ancien vers 950, et c'est lui qui attribua à l'œuvre le titre par lequel elle est la plus connue : Necronomicon, à l'image de la loi des morts, du grec nekros "cadavre", nomos "loi" et eikon "image". Le patriarche de Constantinople Michel Cérulaire fit brûler toutes les copies grecques en 1050 mais quelques exemplaires auraient échappé aux flammes.
En 1228, Olaus Wormius (le Ver) en rédigea une traduction en latin. Les versions grecques et latines furent interdites par le pape Grégoire IX en 1232. Wormius fût mis au bûcher par la Sainte Inquisition avec tous les exemplaires. Seules quelques copies auraient subsisté, notamment dans les Caves du Vatican. Une version en caractères gothiques apparut en Allemagne vers 1440, et le texte grec ressurgit en Italie au cours de la première moitié du XVIe siècle, suivi d'une traduction en espagnol vers 1600. Entre temps, en 1583, John Dee et Edward Kelley, deux occultistes britanniques qui travaillaient pour le compte de l'empereur Rodolphe II, (qui auparavant avaient déjà été employés par la reine Elisabeth I), se seraient procuré un exemplaire du livre. John Dee en publia une version anglaise, au préalable cryptée, en 1586.
Bon il apparaît, en plus de toute l'histoire ci-dessus (donnée par H.P. Lovecraft lui-même) qu'il s'avère que taner de la peau humaine relèverait du défi, et que l'écriture avec le sang sur un quelconque cuir ne serait pas un gage de longévité ... (cela-dit cette partie là du mythe peut être fausse)
Pour ceux qui aimeraient croire en ce mythe, il semblerait que sa trace ait été aujourd'hui retrouvée proche d'Alexandrie à Penjab. Le Nécronomicon aurait complètement disparu de la surface de notre planète entre 1933 et 1938. Les diverses traductions ont disparu comme celle de Wormius qui aurait subitement était effacée du registre du British Museum .
En conclusion
Si effectivement on a retrouvé des traces du livre dans l'histoire... Lovecraft n'a jamais caché, lui, que le livre maudit n'est que pur produit de son imagination...
Mais a-t-il simplement chercher a protéger un secret qu'il savait trop lourd à porter...
Copie d un fan
Tout d'abord qu'est-ce que le Necronomicon ?
Pour certains, ce "grimoire" aurait une reliure en peau de nourrissons mort-nés, des pages en peau d'humains sur lesquelles on aurait écrit avec du sang...(pour sa version originale)
Dans ce mystérieux livre, on raconte que des entités auraient peuplé le monde bien avant l'arrivée des hommes. Ces entités, appelées les Anciens, seraient toujours présentes car elles se trouveraient sur un autre plan de notre réalité. Et ces entités n'attendraient que l'heure à laquelle ils reviendraient reprendre la Terre aux humains ! Ces anciens, visiteurs venus d'ailleurs, seraient la source des visions des certaines personnes qui pratiquent des sciences occultes...
Rien de bien méchant alors penserez - vous.
Cela dépend: le Nécronomicon ne conterait pas seulement la légende des Anciens, ce serait aussi un grimoire qui contiendrait des sorts, des incantations... qui donneraient entre autre la faculté d'invoquer et de soumettre les forces anciennes. L'incantation la plus courue serait "La malédiction de la création originelle", une incantation qui permettait de maudire l'humanité tout entière ainsi que toutes les créatures vivantes afin de les détruire... Cette malédiction serait écrite de la main de Dieu lui-même et finissait par cette phrase: "Et pourquoi ? parce que je me repend d'avoir crée l'humanité..."
Plus sérieusement, l'écrivain américain H.P. Lovecraft serait a l'origine du mythe à l'occasion de la rédaction de la nouvelle La Cité sans nom, achevée en 1921.
Selon lui, voici l'histoire du Necronomicon, originellement nommé Kitab al Azif (littéralement "Livre du musicien") . Il aurait été écrit vers 730 à Damas par le poète Abdul al-Hazred, souvent surnommé "l'Arabe dément" par l'auteur. En arabe, al azif fait référence au bruit que produisent les insectes la nuit, ce qui dans cette culture se rapporte aux cris des djinns. Le manuscrit original en arabe aurait disparu.
Théodore Philetas de Constantinople aurait par la suite traduit l'ouvrage en grec ancien vers 950, et c'est lui qui attribua à l'œuvre le titre par lequel elle est la plus connue : Necronomicon, à l'image de la loi des morts, du grec nekros "cadavre", nomos "loi" et eikon "image". Le patriarche de Constantinople Michel Cérulaire fit brûler toutes les copies grecques en 1050 mais quelques exemplaires auraient échappé aux flammes.
En 1228, Olaus Wormius (le Ver) en rédigea une traduction en latin. Les versions grecques et latines furent interdites par le pape Grégoire IX en 1232. Wormius fût mis au bûcher par la Sainte Inquisition avec tous les exemplaires. Seules quelques copies auraient subsisté, notamment dans les Caves du Vatican. Une version en caractères gothiques apparut en Allemagne vers 1440, et le texte grec ressurgit en Italie au cours de la première moitié du XVIe siècle, suivi d'une traduction en espagnol vers 1600. Entre temps, en 1583, John Dee et Edward Kelley, deux occultistes britanniques qui travaillaient pour le compte de l'empereur Rodolphe II, (qui auparavant avaient déjà été employés par la reine Elisabeth I), se seraient procuré un exemplaire du livre. John Dee en publia une version anglaise, au préalable cryptée, en 1586.
Bon il apparaît, en plus de toute l'histoire ci-dessus (donnée par H.P. Lovecraft lui-même) qu'il s'avère que taner de la peau humaine relèverait du défi, et que l'écriture avec le sang sur un quelconque cuir ne serait pas un gage de longévité ... (cela-dit cette partie là du mythe peut être fausse)
Pour ceux qui aimeraient croire en ce mythe, il semblerait que sa trace ait été aujourd'hui retrouvée proche d'Alexandrie à Penjab. Le Nécronomicon aurait complètement disparu de la surface de notre planète entre 1933 et 1938. Les diverses traductions ont disparu comme celle de Wormius qui aurait subitement était effacée du registre du British Museum .
En conclusion
Si effectivement on a retrouvé des traces du livre dans l'histoire... Lovecraft n'a jamais caché, lui, que le livre maudit n'est que pur produit de son imagination...
Mais a-t-il simplement chercher a protéger un secret qu'il savait trop lourd à porter...