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Les boules ou sphères de Granit
Les Sphères de Granit

Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée pèse environ 30 tonnes !


Il existe, disséminées sur la planète, des sphères parfaites de granit appelées aussi parfois boules. Certaines peuvent peser jusqu'à 12 tonnes. Découvertes notamment dans les forêts du Costa Rica, elles représentent une énigme dont la science officielle n'a pas trouvé la solution.
Boule de granit


On les découvre souvent éparpillées au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières. De toute évidence, elles seraient faites par la main de l'homme et l'on se demande encore comment, en des temps anciens, les hommes ont pu transporter ces sphères jusqu'à leur position actuelle.

On a localisé des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio. Le professeur Marcel Homet, archéologue et auteur du livre "Les fils du soleil", a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, une pierre ovoïde gigantesque de 100 mètres de long et 30 mètres de haut. Elle est couverte de symboles solaires qui ne sont pas un caprice de la nature, mais qui ont nécessités un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécutés par un nombre incalculable d'artistes.

Dans le petit état du Costa Rica, en Amérique Centrale, au milieu d'une jungle inextricable, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre, dispersées de manière aléatoire, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée pèse environ 30 tonnes !



Le célèbre explorateur suisse Erich von Däniken nous rapporte en avoir découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en groupes au sommet de diverses collines. Certaines boules étaient toujours placées au centre de l'axe de la colline. Il en a aussi trouvé réunies et groupées selon un ordre étrange, dans la vase d'un fleuve, et dans la plaine de Diquis où règne une chaleur accablante, il découvrit 45 de ces sphères qui cuisaient sous le soleil.

Ces boules admirables sont-elles un caprice de la Nature ? Certaines d'entre elles sont-elles des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d'un volcan ? S'agit-il de galets géants qui auraient roulés dans le lit d'une rivière durant des siècles et à qui la puissance de l'eau aurait donné cette forme sphérique parfaite ?

Boule ou sphère de granit


Erich von D´niken précise qu'il a d´ parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 km en Land-Rover, dans une jungle hostile o´ il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement, elle refusa ´ un certain moment d'aller plus loin.



Ensuite après une heure de marche, assisté d'un guide expérimenté, il réussit ´ se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout ´ fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement parce que ces boules de Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d'aller les filmer". Effectivement, il faut bien se poser la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels et remontent ´ n'en pas douter ´ une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle.

Soit ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste ´ définir), il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine ( puisqu'il n'en existe aucune ´ moins de 100 kms dans la région ) dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 mètres de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes (une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait ). Puis, on doit penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les emb´ches de la forêt et abandonnées l´ , pour une raison incompréhensible.

Ou alors, et cela dépasse de loin les thèses officielles, ces boules ont été placées l´ , avant l'arrivée de cette forêt, ce qui nous plonge dans des temps plus que préhistoriques o´ les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère.



Soit encore plus fort, ce sont les dieux cités par les mythologies qui, avec leur technologie supérieure, ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l'existence réelle même de ces dieux est sujette ´ caution. L'un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean Sendy auteur de l'ouvrage surprenant : "La Lune clé de La Bible" paru chez l'éditeur "Julliard" en 1968 et en collection de poche "J'ai lu" (n´208) en 1974. On peut ainsi dire qu'il a initialisé une nouvelle discipline (non encore officielle) que l'on appelle l'Astroarchéologie.

Aujourd'hui, on n'a aucune explication de la part des archéologues sur les habiles sculpteurs et sur les techniques qu'ils ont utilisé pour réaliser ces superbes boules du Costa Rica dont on a constaté, que quel que soit leur diamètre, aucune d'entre elles ne présente la moindre irrégularité. La perfection de ces objets prouve effectivement que les artisans qui les ont fabriquées, connaissaient bien la géométrie spatiale et avaient ´ leur disposition des instruments techniquement bien conçus. A notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 mètres de diamètre qui représente environ une aire de 5 mètres carrés et un volume de 8 mètres cubes, dans une roche aussi dure que le granit, qu'´ l'aide de machines-outils programmables perfectionnées.



Cette pierre brisée en deux morceaux possède un hémisphère sur lequel les chercheurs pensent
reconnaître la représentation d'une constellation.



Il nous reste ´ découvrir comment ces extraordinaires artisans sont parvenus ´ réaliser ces objets avec une telle maîtrise, comment certaines boules ont été transportées jusqu'au sommet d'une montagne ou encore, on l'a déj´ évoqué en pleine forêt vierge et dans quel but. Une légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil.

Les archéologues réfutent cette interprétation. D'après eux, ´ ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas que chez les Mayas ou les Aztèques. D'ailleurs les indigènes eux-mêmes rechignent ´ conduire les visiteurs sur les sites recelant ces boules parfaites, ils les considèrent comme des objets sacrés et les emplacements sont des sanctuaires interdits.

En 1940, l'United fruit Company défricha les marais et les bois au pied de la Cordillera Brunquera, dans le territoire du Rio Diquis et ´ cette occasion l'archéologue Doris Z. Stone découvrit de nombreuses boules parfaitement sphériques artificielles. Elle rédigea un rapport détaillé se terminant par cette constatation tout ´ fait résignée : "Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables."



Voil´ donc encore un élément insolite qui nous invite une fois de plus, ´ nous interroger sur l'extraordinaire passé des civilisations disparues, dont les seuls vestiges en pierre découverts de nos jours, sont déj´ pour nous un inconcevable mystère.